- Les autres sous-séries de X sont évidemment complémentaires de 1 X, en particulier la sous-série 2 X (bureaux de bienfaisance). Certaines archives comptables et statistiques des bureaux de bienfaisance sont d'ailleurs classés en 1 X (cela est précisé dans le corps de l'analyse).
- La sous-série 5 M (santé publique et hygiène) complète la sous-série 1 X. Sur certains sujets, les archives que l'on y trouve sont même quasi identiques. La distinction entre les archives de la série X et celles...
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- Les autres sous-séries de X sont évidemment complémentaires de 1 X, en particulier la sous-série 2 X (bureaux de bienfaisance). Certaines archives comptables et statistiques des bureaux de bienfaisance sont d'ailleurs classés en 1 X (cela est précisé dans le corps de l'analyse).
- La sous-série 5 M (santé publique et hygiène) complète la sous-série 1 X. Sur certains sujets, les archives que l'on y trouve sont même quasi identiques. La distinction entre les archives de la série X et celles de la série M n'a en effet pas toujours été respectée dans le passé. Dans ce cas, les renvois sont précisés dans le corps de l'analyse (comme pour les infirmières, les sages-femmes, la lutte contre la tuberculose).
- D'autres séries modernes (an VIII-1940) se rapprochent du sujet : les dons et legs (dont beaucoup étaient faits aux hôpitaux) sont classés en 4 O. La série Y (établissements pénitentiaires) est cousine de la série X car les populations marginales (pauvres, mendiants, prostituées) étaient souvent placées indifféremment dans les prisons ou dans les hôpitaux. Des archives relatives au Château d'O existent en 4 N (bâtiments départementaux).
- La série HDT (fonds des établissements hospitaliers) complète et recoupe évidemment la série X. Les renvois sont faits dans le corps de l'analyse.
- Les archives communales déposées (EDT) complètent X (série Q : assistance et prévoyance).
- Pour la période postérieure à 1940, consulter 10 W et 951 W (fonds de la préfecture, mêmes archives que X mais après 1940), ainsi que 949 W (fonds de la préfecture, 5 M postérieur à 1940). Enfin, les versements de la DDASS (direction départementale des affaires sociales et sanitaires) et de la DRASS (direction régionale des affaires sociales et sanitaires), services déconcentrés de l'Etat qui ont repris, à partir des années 1950-1960 les attributions de la préfecture, concernent aussi le sujet (hospitalisation d'office et à la demande d'un tiers notamment), en attendant d'éventuels versement de l'ARH (agence régionale d'hospitalisation), laquelle reprend une grande partie des attributions de la DRASS.
Les versements du Font d'Aurelle postérieurs à 1940 (devenu la Colombière) font l'objet d'un répertoire méthodique.
- En outre, la décentralisation conférant plus de pouvoirs aux collectivités locales, il ne faut pas oublier de se référer aux versements du Conseil général, qui gère de plus en plus l'action sociale au sens large.